Les allocataires du revenu de solidarité active en Île-de-France au 31 décembre 2021
Au 31 décembre 2021, plus de 363 700 foyers allocataires1 perçoivent le revenu de solidarité active (Rsa), versé par les caisses d’allocations familiales (caf) de la région. Le nombre de foyers allocataires ayant un droit au Rsa en décembre 2021 est stable, rapporté aux données de juin 2021 (0,3 %) mais en nette diminution (4,6 %) en glissement annuel. Ce nombre est certes supérieur de 5,9 % par rapport aux effectifs de décembre 2019. Cependant, il reste proche de la situation contrefactuelle.
Selon une tendance semblable, les montants financiers, engagés au titre du Rsa en Île-de-France se stabilisent au cours du second semestre 2021, après la nette diminution constatée entre décembre 2020 et juin 2021 (de 5,3 %). En effet, le montant versé par l’ensemble des caf d’Île-de-France, concernant la prestation Rsa, n’augmente que de 0,4 % entre le premier et le second semestre 2021. En glissement annuel, l’évolution des montants dépensés est plus marquée par la décroissance observée entre décembre 2020 et 2021 de 4,8 %. Cette tendance à la baisse, tant des montants financiers que du nombre de foyers bénéficiaires du Rsa, s’explique en partie par une meilleure conjoncture économique et une situation plus favorable sur le marché du travail même si cette reprise économique reste fragile.
Selon une tendance semblable, les montants financiers, engagés au titre du Rsa en Île-de-France se stabilisent au cours du second semestre 2021, après la nette diminution constatée entre décembre 2020 et juin 2021 (de 5,3 %). En effet, le montant versé par l’ensemble des caf d’Île-de-France, concernant la prestation Rsa, n’augmente que de 0,4 % entre le premier et le second semestre 2021. En glissement annuel, l’évolution des montants dépensés est plus marquée par la décroissance observée entre décembre 2020 et 2021 de 4,8 %. Cette tendance à la baisse, tant des montants financiers que du nombre de foyers bénéficiaires du Rsa, s’explique en partie par une meilleure conjoncture économique et une situation plus favorable sur le marché du travail même si cette reprise économique reste fragile.
